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Aide pour Argy [Avis acceptés]
Liberty
Ancien Admin
Cela fait plusieurs jours que tu es enfermé entre quatre murs. Tu n'en peux plus ; enragé, tu t'es grièvement blessé à l'épaule en tentant de démolir la porte de ta cellule. Soudain, un jour, tu réussis à t'enfuir...
Mais voilà : étant blessé, tu es la meilleure proie pour le premier carnivore venu, en particulier pour les dragons charognards. Il te faut absolument retrouver ta tribu pour qu'elle te soigne, mais tu ne sais pas ou tu es...
Voilà ton sujet !
A toi de choisir le lieu ou ton personnage est à présent (et donc le décor !).
Tu peux incarner ce que tu veux, mâle ou femelle, du moment que cela entre dans le contexte fantasy ! (centaure et dragon inclus donc haha mais pas de charognard ou de gros carnivore ! - à moins d'être un bébé)
Je me débrouillerai pour intervenir ! ;)
N'oublie pas de faire une auto-évaluation en fin de post !
Si tu as des questions, n'hésite pas !
Bon courage !
Liberty
Ancien Admin
Je suis en train de faire le commentaire, et je me rends compte d'une chose : j'ai oublié de te demander une auto-évaluation ! ><
Pourrais-tu la faire s'il te plaît ? ^^"
Pourrais-tu la faire s'il te plaît ? ^^"
Liberty
Ancien Admin
Coucou !
Whaou, réponse rapide ! :°
Je commente ça !
Tu as peut-être fait moins de fautes que d'habitude, mais elles restent assez présentes ! Pense à te relire ; je te soupçonne de faire les choses un peu trop vite ! Tu fais beaucoup de fautes de conjugaison qui sont facilement corrigeables pour peu qu'on les voie !
Voyons plutôt.
Aussi, je n'aime pas trop la tournure de ta phrase, je ne trouve pas ça très naturel ^^"
Ouh, longue phrase ! Tu voudrais pas la découper en plusieurs ? ^^"
Au passage, évite les "et", c'est pas joli ! Tu pouvais remplacer celui-ci par un point-virgule.
Je n'ai pas compris ; si la porte est déverrouillée, il suffit d'actionner la poignée, pas besoin de défoncer la porte au passage !
(un désert sans vie, c'est un vrai pléonasme !)
Le "pouvoir" atténue le sens de la phrase, ce qui n'est pas très adapté ; "vienne en aide" convient mieux !
Il me semble que c'est tout ! (j'ai peut-être oublié des choses, nul n'est infaillible ^^")
Tu me parlais de la longueur de tes phrases : moi, au contraire, j'ai trouvé que tu les allongeais trop ! Ton personnage est censé être énervé, prêt à céder à la crise de nerfs. Il est aux aguets et son coeur bat à cent à l'heure ; tes phrases doivent être courtes, succinctes. Seuls le tout début (on explique la situation, il ne se passe rien, elle est fatiguée : phrases longues) et la fin (elle est fatiguée, blessée, incapable de se protéger, lasse et inactive : phrases longues) sont des moments "posés" - je n'irais pas jusqu'à dire relaxants, mais ils sont des passages "d'attente".
Tu as peur d'expliquer ? N'aie crainte, le début de RP est là pour ça : poser la situation. Ton premier paragraphe cool, tranquille, sans action : le moment rêvé pour expliquer tout ça ! Par contre s'il y a de l'action, il faut limiter les interventions du narrateur. Plus y'a de l'action, moins y'a d'explications => explications avant actions sinon lecteur perdu.
A propos, soie cohérente dans ton rythme : soit tu prends ton temps, soit tu fonces, mais freiner en pleine action (ex. : explication sur la pierre), c'est pas cool. Une fois que t'accélères tu ne t'arrêtes plus ! (sinon, ça fait pas très plausible : j'ai eu l'impression qu'elle avait eu tout son temps pour vérifier qu'elle avait sa pierre itout avant de sortir - genre y'a personne pour lui courir après)
Concernant les descriptions, j'ai trouvé qu'il y en avait trop peu, en particulier sur ton personnage. Mais tu auras tout le loisir de corriger ça dans le prochain post !
Pour le reste, je ne m'attarde pas trop dessus, car ce n'est pas le but de l'aide ; cependant, si tu veux quelques précisions, hésite pas à demander !
Des questions ? :)
Sinon, voici la suite :
Voletant au-dessus du désert au sable doré, Fajro cherchait des yeux l'animal qu'il devait ramener au logis. Soumis aux hommes et ami des créatures magiques, l'oiseau doré avait été envoyé dans cet endroit hostile pour retrouver le centaure qui s'était enfui. Ce qui n'était, à vrai dire, pas très difficile. Il suffisait de suivre les dragons charognards, ces bêtes au nez redoutable capables de repérer un animal blessé à plus d'un kilomètre si elles volaient bas. En effet, Fajro savait que sa "proie" était mal en point – on lui avait donné le plus d'informations possibles pour qu'il arrive à temps.
Ainsi, le phénix retrouva sans mal le centaure. Celui-ci ne s'en était probablement pas encore rendu compte, mais plusieurs créatures volantes peu pacifiques tournoyaient déjà au-dessus de lui. Une proie facile perdue en plein désert, une aubaine pour beaucoup : peu étonnant qu'elle soit déjà encerclée !
Descendant lentement vers la terre ferme en petits cercles serrés, Fajro atterrit avec légèreté sur le sol brûlant. Cet excès de chaleur le fit frémir ; il craignait que son corps s'enflamme, chose qui effrayerait le centaure et l'affaiblirait lui.
S'approchant maladroitement, les ailes déployées pour garder son équilibre sur le sol instable, il se pencha sur la blessure, qui commençait déjà à s'infecter. Que faire ? S'il l'avait écouté les hommes, il aurait transporté la bête jusqu'à sa prison par la magie, sans même tenter de la soigner ni dialoguer avec elle. Mais il avait de l'amitié instinctive pour cette femme-jument ; il voulait qu'elle soit en sécurité, saine et sauve – ce qu'elle ne serait pas chez les hommes au vu de leur comportement. Contemplant l'animal, assailli par les questionnements de ce dilemme auquel il devait faire face, il soupira comme peuvent soupirer les phénix : de la fumée s'échappa de son bec. Posant son front rougeoyant sur l'épaule du centaure, il ferma les yeux et s'efforça de pleurer, se remémorant les pires moments de son existence – les combats, les chagrins, les erreurs.
Une larme, puis deux, puis trois, coulèrent sur ses plumes, tombant sur la blessure une par une.
Sans même ouvrir les yeux, Fajro s'adressa à l'équidé en chantonnant dans un language que n'importe quel être magique aurait pu comprendre en se concentrant quelque peu :
- Qui es-tu pour que l'on te poursuive, jeune centaure ?
Je précise : dans mon esprit, les animaux dialoguent entre eux dans une langue propre à chaque espèce. Les phénix, qui parlent un genre d'espéranto, peuvent être compris de tous, à quelques petites choses près (il peut donc y avoir quiproquo).
Whaou, réponse rapide ! :°
Je commente ça !
Tu as peut-être fait moins de fautes que d'habitude, mais elles restent assez présentes ! Pense à te relire ; je te soupçonne de faire les choses un peu trop vite ! Tu fais beaucoup de fautes de conjugaison qui sont facilement corrigeables pour peu qu'on les voie !
Voyons plutôt.
Il n'y a pas de blanc après ces points de suspension puisque la phrase n'est pas finie :)La cellule grisâtre où Cassie était enfermée depuis... depuis quand ?
Aussi, je n'aime pas trop la tournure de ta phrase, je ne trouve pas ça très naturel ^^"
Il n'y avait aucune fenêtre là-dedans, elle n'aurait jamais su dire depuis combien de temps elle y était confinée.
J'veux bien que tu personnifiasses un peu, mais y'a des limites quand même xD La cellule n'est pas un être vivant doué de bonté !Bref, la cellule venait de lui donner une chance
Apparemment ceux qui l'avaient capturée ne voulaient pas la laisser mourir de faim ou de soif, et d'ailleurs la jeune centaure ne savait toujours pas qui l'avait emprisonnée : elle se promenait tranquillement dans la forêt, lorsqu'elle avait reçu un coup au crâne.
Ouh, longue phrase ! Tu voudrais pas la découper en plusieurs ? ^^"
Au passage, évite les "et", c'est pas joli ! Tu pouvais remplacer celui-ci par un point-virgule.
Manque quelque chose là o/Par où prendre ?
Est-ce qu'ils la lui avaient enlevée ?
On n'utilise pas le mot "pattes" chez les équidés, mais le mot "membre" ou "jambe". ^^Elle leva les pattes avant et lança un grand coup de sabot : le bois craqua et libéra un passage.
Je n'ai pas compris ; si la porte est déverrouillée, il suffit d'actionner la poignée, pas besoin de défoncer la porte au passage !
Ceux qui avaient construit cette prison devaient penser que l'épaisseur des cellules devait suffit à garder les gens prisonniers.
Même chose que toute à l'heure : attention aux phrases longues, tu as plus de chances de faire des fautes !Non, plusieurs choses : elle ne savait pas où elle était, elle ne connaissait pas cet espèce de désert sans vie et dont les dunes cachaient l'horizon, et sa blessure la rendait vulnérable, d'autant plus que la douleur s'intensifiait au fur et à mesure qu'elle avançait et que les grains de sable s'y infiltraient.
(un désert sans vie, c'est un vrai pléonasme !)
Là, l'utilisation de pattes va ^^Elle s'allongea, repliant ses pattes d'équidéssous elle, et ferma les yeux.
La partie soulignée est étrangement formulée je trouve ^^"Elle se donnait une journée avant de mourir de sa blessure... Il fallait que quelqu'un, même un nain, ces horribles choses, puisse lui venir en aide !
Le "pouvoir" atténue le sens de la phrase, ce qui n'est pas très adapté ; "vienne en aide" convient mieux !
Il me semble que c'est tout ! (j'ai peut-être oublié des choses, nul n'est infaillible ^^")
Tu me parlais de la longueur de tes phrases : moi, au contraire, j'ai trouvé que tu les allongeais trop ! Ton personnage est censé être énervé, prêt à céder à la crise de nerfs. Il est aux aguets et son coeur bat à cent à l'heure ; tes phrases doivent être courtes, succinctes. Seuls le tout début (on explique la situation, il ne se passe rien, elle est fatiguée : phrases longues) et la fin (elle est fatiguée, blessée, incapable de se protéger, lasse et inactive : phrases longues) sont des moments "posés" - je n'irais pas jusqu'à dire relaxants, mais ils sont des passages "d'attente".
Tu as peur d'expliquer ? N'aie crainte, le début de RP est là pour ça : poser la situation. Ton premier paragraphe cool, tranquille, sans action : le moment rêvé pour expliquer tout ça ! Par contre s'il y a de l'action, il faut limiter les interventions du narrateur. Plus y'a de l'action, moins y'a d'explications => explications avant actions sinon lecteur perdu.
A propos, soie cohérente dans ton rythme : soit tu prends ton temps, soit tu fonces, mais freiner en pleine action (ex. : explication sur la pierre), c'est pas cool. Une fois que t'accélères tu ne t'arrêtes plus ! (sinon, ça fait pas très plausible : j'ai eu l'impression qu'elle avait eu tout son temps pour vérifier qu'elle avait sa pierre itout avant de sortir - genre y'a personne pour lui courir après)
Concernant les descriptions, j'ai trouvé qu'il y en avait trop peu, en particulier sur ton personnage. Mais tu auras tout le loisir de corriger ça dans le prochain post !
Pour le reste, je ne m'attarde pas trop dessus, car ce n'est pas le but de l'aide ; cependant, si tu veux quelques précisions, hésite pas à demander !
Des questions ? :)
Sinon, voici la suite :
Voletant au-dessus du désert au sable doré, Fajro cherchait des yeux l'animal qu'il devait ramener au logis. Soumis aux hommes et ami des créatures magiques, l'oiseau doré avait été envoyé dans cet endroit hostile pour retrouver le centaure qui s'était enfui. Ce qui n'était, à vrai dire, pas très difficile. Il suffisait de suivre les dragons charognards, ces bêtes au nez redoutable capables de repérer un animal blessé à plus d'un kilomètre si elles volaient bas. En effet, Fajro savait que sa "proie" était mal en point – on lui avait donné le plus d'informations possibles pour qu'il arrive à temps.
Ainsi, le phénix retrouva sans mal le centaure. Celui-ci ne s'en était probablement pas encore rendu compte, mais plusieurs créatures volantes peu pacifiques tournoyaient déjà au-dessus de lui. Une proie facile perdue en plein désert, une aubaine pour beaucoup : peu étonnant qu'elle soit déjà encerclée !
Descendant lentement vers la terre ferme en petits cercles serrés, Fajro atterrit avec légèreté sur le sol brûlant. Cet excès de chaleur le fit frémir ; il craignait que son corps s'enflamme, chose qui effrayerait le centaure et l'affaiblirait lui.
S'approchant maladroitement, les ailes déployées pour garder son équilibre sur le sol instable, il se pencha sur la blessure, qui commençait déjà à s'infecter. Que faire ? S'il l'avait écouté les hommes, il aurait transporté la bête jusqu'à sa prison par la magie, sans même tenter de la soigner ni dialoguer avec elle. Mais il avait de l'amitié instinctive pour cette femme-jument ; il voulait qu'elle soit en sécurité, saine et sauve – ce qu'elle ne serait pas chez les hommes au vu de leur comportement. Contemplant l'animal, assailli par les questionnements de ce dilemme auquel il devait faire face, il soupira comme peuvent soupirer les phénix : de la fumée s'échappa de son bec. Posant son front rougeoyant sur l'épaule du centaure, il ferma les yeux et s'efforça de pleurer, se remémorant les pires moments de son existence – les combats, les chagrins, les erreurs.
Une larme, puis deux, puis trois, coulèrent sur ses plumes, tombant sur la blessure une par une.
Sans même ouvrir les yeux, Fajro s'adressa à l'équidé en chantonnant dans un language que n'importe quel être magique aurait pu comprendre en se concentrant quelque peu :
- Qui es-tu pour que l'on te poursuive, jeune centaure ?
Je précise : dans mon esprit, les animaux dialoguent entre eux dans une langue propre à chaque espèce. Les phénix, qui parlent un genre d'espéranto, peuvent être compris de tous, à quelques petites choses près (il peut donc y avoir quiproquo).
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