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EN COURS DE RECONSTRUCTION.
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Aide de Leela. [Avis acceptés]

Liberty
Liberty
Ancien Admin
Ancien Admin
Tu es un enfant du peuple des arbres.
Ton apparence est humaine, mais à tes 15 ans, tu deviendras végétal. L'appel sera trop fort et tu devras rejoindre tes aïeux dans les sous-bois. Tu aimerais rester parmi les hommes, mais tu n'arrives pas à résister. Le jour de tes 15 ans approche ; plus le temps passe, plus tu es attiré par la forêt.
C'est ton anniversaire (des quinze ans). Tu ne peux plus résister. Tu t'enfonces donc dans les broussailles, sentant la transformation commencer...

Tu peux incarner un garçon ou une fille, rédiger à la première ou à la troisième personne, à ta convenance.
N'oublie pas que c'est un RP ! Quelqu'un doit te répondre ensuite ; ménage-lui une entrée ;)
Concentre-toi sur les descriptions ; la forêt est-elle mystérieuse, dangereuse, ou au contraire accueillante ? Décris l'apparence de ton personnage, puis son début de transformation.
Des questions ? :)
Bon courage !
Liberty
Liberty
Ancien Admin
Ancien Admin
Ah je me disais bien que j'avais oublié quelque chose, tu devras faire une auto-évaluation en fin de post :)
Poste après moi quand tu auras terminé !
Liberty
Liberty
Ancien Admin
Ancien Admin
Coucou !

Je m'empresse enfin de commenter ton texte, taïaut ! 8D
Le jour de ton anniversaire, en plus. Bon d'accord une critique c'est pas ce qu'il y a de mieux comme cadeau d'anniversaire mais c'est pas grave, c'est l'intention qui compte hein ? *3*

Langue :

Fais attention aux répétitions ; tu dis toujours "elle" pour nommer ton personnage, mais il y a bien d'autres manières de le faire, comme utiliser des qualificatifs. Après, tu répètes évidemment les mots comme "oiseaux", forêt"... Un dictionnaire des synonymes peut toujours t'aider, mais sache que tu te répèteras forcément quelque part, tu n'y peux rien ! ;) Sinon, c'est super, tu écris toujours aussi bien, je t'aime ! *-* Quelques fautes au début cependant.

Elle était rapide et silencieuse, comme tous ceux de sa race.
Ici "tout" est un adjectif, il est donc accordé en conséquence avec "ceux".

Elle avait parcouru...
"Parcouru" est ici le participe passé de parcourir, donc il n'y a pas de terminaison.

Elle ne paraissait pas essoufflée.
Accord féminin avec "elle".

Le vent s'engouffrait dans ses cheveux de la couleur de son peuple. Un vert qui paraissait presque naturel dans l'obscurité créé par les arbres millénaires [mais lorsqu'elle allait chercher le soleil, sa chevelure éclatait de brillance et de reflets émeraudes.
Je trouve cette formulation bancale, pas naturelle (avant le crochet). Je trouve qu'il aurait mieux fallu mettre une virgule au lieu d'un point entre "de son peuple" et "un vert".
Quant au passage souligné, l'expression me semble étrange. Aller chercher le soleil ? Huhu ? ^^" Être au soleil, c'est déjà mieux, non ?
(petit passage descriptif, on est dans la langue mais je fais kit 2 en 1 : je trouve que tu n'accentues pas assez la différence entre les deux verts ; tu aurais dû préciser que le premier est très sombre, sauvage.)

Que se passait-il pour que plus un seul oiseau ne chante et se fasse oublier ?
Mauvaise tournure également, car cela veut dire que plus un seul oiseau ne chante et tous ne se font pas oublier. On est bien d'accord, ça n'a aucun sens xD On dirait plutôt : "Que se passait-il pour que plus un seul oiseau ne chante, et pour que tous se fassent oublier ?"

Émotions :

Elles sont présentes, mais soit trop peu soit incohérentes par rapport au reste selon moi.
J'irais assez rapidement sur ce point-là puisque tu ne souhaites pas te concentrer sur celui-ci, mais si tu souhaites des précisions, n'hésite pas à me les demander :)
Tout d'abord, dans le premier paragraphe, tu nous parles de calme, de sérénité, de bien-être. Certes pris à part, il n'y a aucun problème, c'est très joliment exprimé. Cependant, dans le contexte, cela paraît étrange. J'aurais plutôt dit que la tristesse ressentie dans le suite du récit aurait dû être la première chose que le lecteur sente ; le goût amer des regrets, une rage sourde de ne pas pouvoir rester au milieu des humains peut-être, une ironie à l'évocation du paradoxe de Théo se plaignant de son humanité. Le calme serait arrivé au moment de la transformation, retour aux racines et donc ultime action humaine la remplissant de sève chaude.
Après, il y aurait des choses à approfondir, mais j'avais dit que je ferais court et je m'emballe déjà ! xD

Descriptions :

On ressent bien l'ambiance de la forêt à la fois mystérieuse pour le spectateur et familière pour le personnage.
Il est cependant dommage que tu ne donnes pas plus de précision ; il y a des oiseaux, certes, mais quel type d'oiseaux ? Des oiseaux ordinaires, comme des rossignols ? Ou des animaux du domaine du merveilleux, comme des griffons ? Cette forêt, elle est constituée d'arbres. Quel genre d'arbres ? Des bouleaux, des saules, des chênes ? Est-ce uniquement des membres du peuple des arbres, ou est-ce également d'autres "espèces" ? N'oublie pas que c'est un texte de fantasy, tu dois donc intégrer la magie à ton texte.
Aussi, je ne comprends pas très bien : tu nous dis que la forêt est silencieuse, puis qu'il y a plein de chants d'oiseaux ! WTF ? (a)
Attention, Tamy a à l'origine une apparence humaine ! ^^"
Or ici, tu nous la présentes déjà sous forme de végétal...avec des cheveux o_o
(pousse un peu bizarre quand même dans le genre !)
D'ailleurs, hormis ces cheveux, tu ne décris rien de la jeune fille avant sa transformation. :/
On s'imagine bien le grand-père. J'aurais bien aimé tout de même savoir comment la jeune fille le reconnaît ! :3
Pendant la transformation, on a bien des descriptions intérieures, mais pas extérieures. Elle fusionne avec son grand-père ? o_O Et genre ça ressemble à quoi le résultat final ? ^^"
Enfin, à la fin, il y a quelques contradictions ; elle se retourne vivement, mais en fait elle peut pas trop bouger parce qu'elle est à moitié attachée à l'arbre...un peu flou ! ;)

Ouverture :

L'ouverture est bonne, l'interaction respectée puisque l'adversaire n'est pas obligé d'avoir produit le vacarme, cela peut très bien être quelque chose d'autre. C'est bien, continue comme cela !

Conclusion :

Évite les répétitions, détaille les descriptions, structure ton texte pour une meilleure cohérence des émotions et tu auras déjà fait de gros progrès ! o/

La suite :

L'homme, un fusil à la main, se glissait entre les arbres. Peu d'humains s'aventuraient dans la Forêt des Sylves. Ils en avaient peur. Mille et une rumeurs couraient sur cet endroit obscur ; il y avait là des vipères, des fauves féroces, des grenouilles minuscules dont la peau pouvait empoisonner un être au moindre contact ; mais il y avait aussi des oiseaux aux plumages flamboyants, des félins capables de se volatiliser, des sphinx...que sais-je !

Mais lui, le chasseur, n'avait pas peur de cet endroit apparemment si hostile. Au contraire. Il aimait ce lieu bruissant de vie. Il découvrait à chaque instant de nouvelles choses, et chaque seconde passée dans la pénombre des arbres l'emplissait d'une profonde admiration pour la nature. Ses yeux brillaient d'un éclat surnaturel ; le chat avait ouvert les yeux, les étoiles y étaient entré, le chat avait refermé les yeux, les étoiles y étaient restées...

Une biche sortit soudain des fourrés. Aussitôt, l'homme épaula son arme et tira. Tout était allé très vite. Une détonation résonna dans la forêt ; sur le lieu du crime les oiseaux s'envolèrent dans un grand battement d'ailes ; plus aucun bruit alentour. Paavi - car c'était son nom - s'approcha du cadavre. Une balle dans le cœur, l'animal était mort sur le coup. Il murmura une prière avant de passer un nœud coulant dans les jambes de la bêtes pour lui attacher les pattes. Traînant son lourd fardeau, il arriva soudain devant un immense arbre qui lui semblait très âgé. Une voix claire retentit :

« Qui est là ? »

Observant autour de lui, le chasseur ne comprit pas tout de suite d’où venait la voix. Jusqu'au moment ou il la vit. Ébahi, ne sachant comment réagir, il s'aperçut qu'il avait lâché la corde qui le reliait à sa proie. C'était une adolescente de 15 ans, en pleine transformation végétale. Il n'avait jamais vu pareil phénomène ; à vrai dire rares étaient les humains à avoir entr'aperçu cet événement unique. Il balbutia :

- Pardon...pardon pour la biche !

Il se sentait si impur au milieu de cette clairière aux odeurs de magie !

[Des questions ? :3]
Liberty
Liberty
Ancien Admin
Ancien Admin
Coucou ! :D

Bravo pour la langue, je n'ai pas vu d'autres fautes mis à part une majuscule après un deux-points et un léger abus de langage (passant du chasseur à la biche et vice-versa en oubliant "son regard" en début de phrase). :)

Émotions :

Au départ, la jeune fille/plante est censée avoir été surprise. Or ici, on a plus l'impression qu'elle est calme, qu'elle attend la suite des événements. Cela manque de tension, de concentration sur ce qui se passe autour ; tu dois ici presque faire comme si elle était devenue un animal. Je n'ai pas ressenti le fait qu'elle était aux aguets, que son attente n'était pas passive mais active, qu'elle était sur ses gardes et prête à faire front (comme tu le dis à la fin de ton paragraphe, mais cela résonne plus comme une constatation désolée qu'un état d'esprit tranchant).
Certes, c'était une bonne idée de faire ressortir également ses handicaps, mais j'aurais aimé qu'il y ait les deux ! ;)
Son énervement contre le chasseur et l'incompréhension qui découle de son activité est bien exprimée. Cependant, il est dommage que cela ne soit pas plus développé : pourquoi tant de haine envers un simple humain ? Pourquoi ne comprend elle pas cette activité ? En quoi cela l'enrage ? On devine ces motivations, mais l'on est pas sûr de tout comprendre. A approfondir !
Pour la suite, les émotions sont bonnes, c'est super !

Descriptions :

Tu as bien décrit l'alliance arbre/personnage qui s'est faite durant la transformation.
Cependant, pour le reste, on n'a aucune précision. :/
La forêt par exemple, aurait pu être approfondie lors de la chute contre le sol (genre de végétation, mousse ?, feuilles mortes ?, racines du vieil arbre qui heurtent son menton, fourmis, et j'en passe !). Ainsi, tu entres en matière sans difficulté, l'ensemble reste fluide et harmonieux.
La biche, elle, aurait pu être décrite lorsque la jeune fille la découvre, attachée par les pieds à une corde rêche. Son regard qui peu à peu s'éteint (parallèle avec les yeux de la sylve ?), son pelage encore brillant qui se ternit de terre (elle vient d'être traînée), cette corde, d'ailleurs, qui serre si durement ses gambettes élancées, si imposante pour de si petits sabots, son corps gracieux...
[Cela aurait pu permettre au lecteur de se plonger encore plus dans la lecture, hérissé à son tour de fureur contre l'auteur de cette injustice.]
Lorsque tu parles au chasseur aussi, tu peux le détailler sans douceur.
(enfin, les divers moments ou la jeune fille se tourne, bouge, etc, sont autant de prétextes pour décrire de temps à autre différentes parties de son corps !)

Compréhension :

Il y a juste une ou deux phrases qui m'ont échappé.

Et pour l'heure, elle était partagée entre l'envie de rejoindre les bras rassurants de son grand-père et celle de les fuir pour disparaître dans les profondeurs de la forêt.
Pourquoi hésiterait-elle entre ces deux options ? Ne serait-ce pas plutôt une hésitation retrouver les humains/rester ici ? o.O

Elle stoppa brusquement lorsqu'elle sentit comme un arrachement. Sa main venait de lui être restituée en totalité, rompant le lien qui existait encore, quelques secondes plus tôt, avec son aïeul.
Pourquoi vient-elle d'être détachée, alors qu'on nous dit au tout début que se détacher de l'étreinte devait mettre énormément de temps et de volonté ? A peine deux minutes viennent de s'écouler, et elle n'est pas du tout dans l'état d'esprit qu'il faut pour se concentrer sur la séparation des corps !

Tentée de l'agresser dans sa langue natale, elle opta finalement pour une conversation plus civilisée avec l'intonation qui allait avec, presque pas acerbe.
Hu ? J'ai pas compris ^^"

Ouverture :

Bonne ouverture, il y a de l'action, de la matière, il se passe beaucoup de choses en peu de temps + dialogue : c'est bon, l'autre a les billes en main pour répondre, et sa liberté d'agir est respectée, chapeau !

Conclusion :

Les émotions sont plus cohérentes, c'est bien ! J'aimerais un peu plus d'approfondissement si possible !
Concentre-toi bien sur les descriptions, c'est pas grave si tu en mets une tonne, ça se corrige facilement. L'important, c'est que tu saches ou les placer et comment les insérer. D'abord tu écris ton premier jet, ensuite tu relis et tu vois là ou l'action te permet d'en placer une. Tu te fais ton petit passage descriptif, tu dis ce que tu as à dire, ce sur quoi ton personnage a été marqué, et tu passes à autre chose, ainsi de suite.
C'est possible ? :D

La suite :

La jeune fille le regardait, des étincelles de fureur dans les yeux. Elle le haïssait déjà, c'était évident. Un être humain normal aurait déguerpi, hurlant, agitant les bras dans tous les sens en effrayant la faune locale.
Mais Paavi n'était pas ce que l'on peut appeler "un être humain normal".
Il était...spécial.

Ainsi donc, Paavi n'était pas le bienvenu dans cette clairière dans laquelle la plupart n'avait jamais mis les pieds. Le premier moment de gêne intense passé, il reprit son sang-froid. Il savait que son activité était mal vue par les indigènes. Par les humains aussi d'ailleurs. Il était mal vu de tous, sauf par ses frères de métier ; eux seuls pouvaient comprendre sa vie rythmée par les proies abattues, les proies vendues et les proies mangées.

L'homme s'agenouilla pour s'asseoir en position seiza. Lentement, doucement, il posa son fusil à ses côtés. Il voulait montrer par ce geste qu'il était pacifique. Il était là dans une situation de soumission, dangereuse : si la jeune fille l'attaquait, il ne pourrait compter que sur son adresse pour se défendre. Il était à sa merci.

Soudain, l'enfant-pousse fut rejeté par l'ancêtre-arbre. S'effondrant au sol, à ses pieds, la sylve releva la tête. Était-ce à cause de sa présence que l'adolescente venait de subir cet affront ? Immobile, le cœur battant, l'homme fixa le regard brûlant qui lui était adressé.


- Manifestement, je ne suis pas le seul qui ne devrait pas être là.
Liberty
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Ancien Admin
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Ah, d'accord, je comprends mieux le texte du coup ^3^
Poste après moi quand tu auras terminé ! :)
Liberty
Liberty
Ancien Admin
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Coucou !

Euh, c'est moi ou c'est un remake de ton ancien post + la suite ? o_O
M'enfin bon, c'est bien, tu appliques mes conseils, j'suis contente ! xD (enfin tu prends en compte la critique, c'pareil)
Du coup, j'ai plus grand chose à dire x)

N.B. : Hé, à lire sur de la musique celtique, c'est absolument génial ! *.* J'ai redécouvert ton texte ! x3

Langue :

Héhé, je viens t'embêter avec quelques remarques (^3^)

La conclusion, après un débat animé, avait quand même accordé un semblant de légitimité aux hommes de 'l'art'.
Euh, une conclusion ne peut pas accorder un semblant de légitimité... Un être humain oui mais pas une notion abstraite.

Tout semblait être analysé pour agir au moindre signe suspect...
Attention, on utilise ici le participe passé.

Ses doigts se plièrent sur un mélange de feuilles mortes, pierre et terre alors qu'elle redressait les yeux sur celui qui venait d'être témoin de l'abandon de son grand-père et que sa voix trancha dans le silence anormal de la place.
Ta phrase est correcte mais le passage souligné est au beau milieu de nulle part, on ne sait pas vraiment à quoi il se rapporte.
Aussi, la phrase m'a parut un peu longue. Le rythme doit au contraire être court, saccadé ; elle vient de se faire rejeter, c'est violent ! Sa voix tranche dans le silence, c'est un sabre qui fend l'air ! Il aurait fallu couper entre "grand-père" et "sa voix" (on supprime le "et que").

Il était comme ses semblables, grand et costaud, dangereux par son physique. Juste quelque chose dans sa façon de se tenir, de l'examiner qui était différent.

La riposte ne tarda pas et, piquée, se renfrogna un peu.
Il manque le sujet là ! x)

...une blessure à son ego...
Il n'y a pas d'accents :)

L'écorce, irrégulière et noueuse la rassura un peu.
Accord féminin singulier avec "l'écorce".

Émotions :

C'est super, je n'ai rien à dire ! :)
Continue comme cela ! x3

Descriptions :

En fait, dans un premier post RP, tu ne peux pas décrire ton partenaire.
Par contre, par la suite, tu as parfaitement le droit de le faire et je t'y encourage chaudement :D
Bon, je vois que tu as fait des efforts, c'est bien ! :) (juste dommage que tu décrives pas ton propre personnage, mais c'est pas grave xD)
Il faudrait maintenant que tu arrives à en placer ici et là sans que j'aie besoin de t'indiquer ou ;)
Tu peux me faire ça au prochain post ? Razz
(que tu en fasses énormément ou très peu, peu m'importe pour l'instant)

Ouverture :

L'ouverture me convient, c'est super ! :)

____________________

La jeune fille recula jusqu'à ce qu'elle s'adosse contre le vénérable tronc de l'arbre. Paavi ne bougeait pas d'un poil. Il tenait à montrer qu'il était inoffensif.
De toute manière, que cela aurait pu lui apporter, d'attaquer une fille des Sylves ? A rien. Le chasseur ne pourrait manger sa chair ou vendre sa peau. Il n'était pas cannibale et une peau humaine ne sert à personne. Si elle était déjà transformée, à la rigueur, il aurait pu récupérer le bois...
Mais honnêtement, il n'était pas bûcheron et totalement incapable d'utiliser une hache.
Alors débiter son écorce, non.

La jeune pousse avait besoin de prouver qu'elle avait une famille, des gens pour l'aider. La commissure des lèvres de Paavi bougea légèrement, signe presque imperceptible qu'il souriait intérieurement. De toute évidence, l'adolescente était perdue. Elle ne pouvait pas retourner auprès des humains mais elle ne pouvait pas non plus rejoindre ses aïeux. Il ne lui restait plus rien.

A moins que Paavi ait été déposé là par le destin pour faire le pont entre les deux ?
Peut-être.


- Je suis désolé, répéta-t-il.

Puis il ajouta, enfonçant son regard perçant dans celui troublé de l'enfant :

- Mais tuer pour survivre n'est pas un crime.
Liberty
Liberty
Ancien Admin
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Je ne t'oublie pas, ne t'en fais pas !
Mes vacances sont juste un peu chargées et j'ai du mal à trouver du temps pour vous n_n
J'essayerais de te répondre le plus tôt possible x3
Liberty
Liberty
Ancien Admin
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Coucou, me revoilà !

Langue :

J'continue à traquer les p'tites fautes par-ci par-là 8D

Si elle avait pu lire ses pensées...
On est obligé de mettre une préposition (en l'occurence, dans ses pensées). On peut dire qu'on lit un livre, mais on lit dans les pensées ou à l'intérieur de ;)

Heureusement, le don de télépathie n'est pas inné.
Le don de télépathie n'est toujours pas inné à l'heure actuelle ! Même si ton récit est au passé, tu peux mettre le verbe être au présent. :)

Oui, elle avait bien inclus le "nous", malgré sa douleur de penser qu'elle avait été rejetée.
Le participe passé d'inclure ne se termine pas par un t mais par un s ;)
On doit accorder le participe passé de rejeter avec le sujet "elle".
Aussi, on inclut quelque chose à l'intérieur d'une phrase, d'un contrat... Ici, la phrase est donc incorrecte :/ Ou sinon, tu aurais dû utiliser un autre verbe, comme "employer".

Englobant encore celui-ci ainsi que tout le reste de sa famille, elle grandissait sa présence en face du chasseur.
Grammaticalement parlant, le verbe "englober" se rapporte ici à "elle".
Or ce n'est pas du tout ce que tu veux dire xD
Fais donc attention à bien vérifier que le sujet est bien exprimé !
"Grandir sa présence" est une expression compréhensible, même si je ne l'aime pas trop ^^"

De nouveau, le visage tanné et imposant ouvrit la bouche pour s'excuser.
Un visage n'ouvre pas sa bouche, c'est la bouche qui s'ouvre ! Razz

En temps normal, peut être qu'une discussion civilisée aurait pu être commencer.

Pas maintenant alors qu'elle emmagasinait autant d'émotions en si peu de temps !
Je trouve cela plus fluide dit ainsi et moins répétitif :3 Sinon, c'est correct me semble-t-il.

Elle déglutit, mal à l'aise ; son regard passa de son vis-à-vis à la bête tuée.
Un plus long silence entre les deux situations est meilleur pour le rythme du texte je trouve :D
Sinon, simple faute d'orthographe (ou oubli ?) ^3^

La jeune fille était incapable d'ignorer ces grands yeux noirs et vides qui semblaient l'accuser de son destin.
Faute de frappe Razz
Je n'aime pas trop l'expression "accuser de son destin". Le "de" me gêne xD Mais je vois pas comment on pourrait reformuler, donc bon. .3.

Curieux mélange que le musqué avec une légère pointe de transpiration et celui du fer et de la mort !
Le mot "musqué" est un adjectif et non un nom ^^" Cela ne veut donc rien dire !

Émotions :

C'est bien, même si tu reprends beaucoup de choses par rapport à ce que tu as dit précédemment. Il est bon de rappeler au lecteur ce que le personnage vit, mais si tu lui racontes toujours les mêmes choses, il finit par décrocher ! ;)

(petite remarque, tu nous parles de dialogue civilisé, mais il est déjà commencé, ce dit dialogue o_o)

Descriptions :

C'est bien, tu as fait ce qu'il fallait pour qu'on soit toujours dans l'ambiance :) Continue comme ça !

Action/Dialogues :

Juste une chose : il n'est pas gênant que tu reprennes des choses dans ce qui s'est passé précédemment, mais fais attention à ce que cela ne devienne pas trop répétitif et que cela ne soit pas "étrange" à lire pour les dialogues (en l’occurrence, vu que tu ne les re-cite pas pour le premier paragraphe, ça m'a un peu gêné même si je savais de quoi tu parlais).

Ouverture :

Très bien, rien à dire ! :D

Conclusion :

J'trouve qu'on a beaucoup progressé par rapport au premier texte non ? Razz Par contre, fais attention à ce que cela ne devienne pas trop monotone :/ N'hésite pas à bouleverser la situation, changer de décor... (euh, ça veut pas dire transplaner hein ! u_u)
____________________

Il était étrange de voir que les deux protagonistes avaient des comportements totalement opposés.
L'homme était en position de force, mais il ne l'utilisait pas.
La jeune fille aurait dû fuir, mais elle restait là, agressive.
Chacun d'eux n'avait rien à gagner.
Alors pourquoi ne s'en allaient-ils pas chacun de leur côté ?

Paavi voulait juste que la forêt reste comme elle était.
Disparaître sans rien dire n'aiderait pas la sylve. Et tant qu'elle resterait là, sans attache, la forêt serait aussi menacée que si un braconnier avide d'or s'y aventurerait.

- Dans ce cas, chaque carnivore qui séjourne en ces lieux devrait frémir dans l'attente de son châtiment, persifla le chasseur.

Voyant qu'elle cherchait à s'échapper, l'homme se leva aussitôt avec souplesse, sans bruit ; malgré sa carrure, il avait les mouvements d'un félin.

- Mange ou soit mangé. N'est-ce pas la loi du Wild ?

Puis il ajouta, d'un ton teinté d'amusement :

- Que comptes-tu faire, Sylve ? Ressusciter cette biche ? Il n'y a plus rien à faire pour elle. C'est plutôt à toi-même que tu devrais penser.

Liberty
Liberty
Ancien Admin
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Pas de problème, bon courage ! :)
Melone
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Hello,

As-tu du temps pour ta demande, souhaites-tu la mettre en pause ? ^^
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